8e journées du livre de Craonne

L’Histoire de la Grande Guerre a rendez-vous à Craonne (Aisne) le samedi 13 et le dimanche 14 novembre 2010 en Mairie de Craonne

le samedi 13 novembre, à partir de 20 H 30,  Salle des Fêtes de la Mairie

la Mairie de Craonne vous invite en partenariat avec l’Association La Cagna à une Soirée musicale et chantante proposée par les Chemins de Mémoire sociale

Au programme

Un accordéon, une guitare, des chansons populaires d’ici ou d’ailleurs, des chants de lutte, de résistance, de la poésie, de l’humour, de l’espoir … et bien-sûr La Chanson de Craonne !

Livrets de chants disponibles sur place

Entrée libre et gratuite

le dimanche 14 novembre

10h   Ouverture de la 8e Journée du livre de Craonne par Noël Genteur,  Maire de Craonne

Matinée: Fictions de guerres

10h30 Gisèle Bienne, romancière, présentera La ferme de Navarin, Gallimard 2008, récit évoquant la ferme de Champagne où Blaise Cendrars perdit sa main droite le 28 septembre 1915 et Le cavalier démonté, École des Loisirs 2006, roman destiné aux adolescents.

Elle sera accompagnée de Marie Llosa, historienne, Crid 14-18 qui parlera de son 1er livre pour enfants Le gang des monuments, Éditions Mairie de Montauban/Musée de la Résistance et de la Déportation, 2010.

Conférence

11h30 Louis Leclabart, un artiste picard dans la Grande Guerre, Cap régions Éditions,2010.

Thierry Hardier, enseignant, Crid 14-18 et Benoît Drouart, professeur d’arts plastiques aborderont sous la forme d’une conférence illustrée les sculptures et les dessins de cet artiste qui a laissé un témoignage direct sur le quotidien des tranchées de la Grande Guerre.

Après-midi: L’actualité du livre 14/18

14h André Loez, enseignant, Crid 14-18, auteur du tout récent 14-18 Les refus de la guerre, une histoire des mutins, Folio Histoire, présentera son nouveau livre La Grande Guerre, La Découverte, Collection Repères, 2010.

14h30  Camarades ! La naissance du communisme en France par Romain Ducoulombier, enseignant, Paris, Perrin 2010.

15h L’écrivain de Lubine. Journal de guerre d’une occupée des Vosges, Clémence Martin-Froment (1914-1918). Ouvrage collectif: Philippe Nivet, Jean-Claude Fombaron, Yann Prouillet, présenté par Yann Prouillet, Crid 14-18, Edhisto 2010.

15h30 Les carnets d’Eugénie Deruelle présentés par Guillaume Giguet, Soissonnais14/18, co-Éditions Encrage /Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie de    l’Aisne, 2010.

16h  En finir avec l’affaire du Chemin des Dames par Denis Rolland, Soissonnais 14/18, Crid 14-18. La question des pertes du Chemin des Dames, Mémoires de la Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie de l’Aisne, 2010.

16h30 14-18 aujourd’hui. La Grande Guerre dans la France contemporaine, Odile Jacob, 2010 par Nicolas Offenstadt, Université Paris 1, Crid 14-18.

17h Combats, Hommage à Jules Maurin, Houdiard, 2010. Ouvrage collectif dirigé par Jean-François Muracciole & Frédéric Rousseau, présenté par F. Rousseau, Université Montpellier III, Crid 14-18.

6-7 novembre 2010, Vic-sur-Aisne – « Patrimoine 14-18 Quel avenir ? »

QUEL AVENIR POUR
LE PATRIMOINE 14-18 ?
Vic-sur-Aisne 6 et 7 novembre 2010

Journée colloque (6 novembre) et visites à thème (7 novembre)

Depuis vingt-cinq ans, des particuliers se sont regroupés en associations pour se préoccuper de la sauvegarde et de la valorisation des traces de la Grande guerre sous toutes leurs formes. Dans les régions concernées, le ministère de la culture, avec les directions régionales des affaires culturelles, a emboîté le pas en inscrivant au titre de l’inventaire des monuments historiques des monuments ou des carrières 14-18.
Pour autant, l’avenir de ce patrimoine n’est pas assuré. Aujourd’hui, en dépit de l’intérêt que suscite cette période dans le public, pour des raisons diverses, ce patrimoine est menacé de disparition. Les raisons sont nombreuses, action du temps, pollution, vandalisme, fragilité intrinsèque des monuments etc. Faut-il tout sauvegarder et pourquoi ? Avec quels moyens financiers et quels partenaires ? Sur quels critères ?
Pour tenter de répondre à toutes ces questions, à l’occasion de son vingt-cinquième anniversaire, Soissonnais 14-18 engage une réflexion au travers des regards croisés de plusieurs types d’acteurs : associations de terrain, historiens etc.

5e Journée du livre de Suippes, 23 octobre 2010

Le samedi 23 octobre, se tiendra la 5e journée du livre 14-18, qui se tiendra à la maison des associations (MDA) de 10 à 18 heures. Le thème de cette 5e édition du livre 14-18 sera les enfants dans la grande guerre.
Cette journée du livre sera l’occasion d’une nouvelle rencontre entre spécialistes de la période 14-18 et le public autour des grandes thématiques de la première guerre mondiale.

Au cours de la journée du 23 octobre, deux conférences-débats dont une conférence d’André Loez sur les mutineries de 1917, à 14 heures, des historiens et des auteurs dédicaceront leurs ouvrages, une table ronde sur la littérature jeunesse animée par Marie Llosa, à partir de 15h30, atelier Slam avec Slam Tribu (à partir de 10 ans, participation gratuite) et de 17 à 18 heures, restitution des ateliers de slam.

A cette occasion, la médiathèque intercommunale de Suippes et le centre d’interprétation Marne 14-18 proposent aussi une restauration sur place ouverte à tous. « La Roulante » de l’office du tourisme du pays d’Argonne sera présente, à midi, pour un repas complet (soupe, potée lorraine, salade fromage, vin, tarte aux fruits) sur réservation obligatoire, avant le 12 octobre, auprès de la médiathèque de la commune de Suippes.

Informations complémentaires : médiathèque 9, rue Saint-Cloud 51600 Suippes, tél. 03.26.63.52.63

« Du front à l’asile. Expériences de la folie de la Grande Guerre aux années 20 » – Journée d’étude au Mans

Mercredi 20 octobre 2010 – Du front à l’asile.

Expériences de la folie de la Grande Guerre aux années vingt

Bibliothèque universitaire Vercors – Salle Pierre Belon

Comment l’asile a-t-il traversé la Grande Guerre ? Est-il possible de parler de l’expérience des soldats internés durant le conflit et parfois pour de longues années ? L’historiographie la plus récente et la mémoire professionnelle, insistant toutes deux sur le rôle majeur de la Seconde Guerre mondiale comme matrice de la révolution psychiatrique du 20e siècle, ces questions portant sur la période précédente sont pour l’essentiel restées sans réponse.

Cette journée d’études prospective propose d’interroger la place de la Grande Guerre dans cette histoire en s’ouvrant aux autres disciplines.

Seront notamment abordés les thèmes suivants :
• l’expérience institutionnelle asilaire de la guerre et son impact dans l’entre-deux guerres,
• la description de l’expérience individuelle et familiale de la folie du front à l’asile.

Benoist Couliou, membre du CRID 14-18, interviendra sur le thème suivant :
« Il y a de quoi devenir fou ». Étienne Tanty et la guerre, ou la dépression contre la folie »

contact : Université du Mans

Appel à communication – « Le Midi, les Midis dans la IIIe République (1870-1940) »

Appel à communication

Colloque « Le Midi, les Midis dans la IIIe République (1870-1940) »

(Nérac, Espace d’Albret, 13 mai 2011)

Présentation :

« On connaît la nature impressionnable des Méridionaux (…). Qu’on les encadre et qu’on les mène au plus fort du feu pour leur donner, sans retard, la chance de réparation à laquelle leur passé leur donne droit ». C’est en ces termes que Georges Clémenceau dans l’Homme Libre du 25 août 1914, au plus fort de la retraite des troupes françaises en Lorraine notamment, emboîte le pas des accusations émises quelque jours plus tôt par le sénateur Gervais sur la défaillance des troupes du XVe corps d’armée (originaire de Marseille, Antibes, Toulon) face au succès des armées allemandes. Il va sans dire que cette allégation a trouvé un large écho dans l’opinion française et dans les troupes combattantes durant la Grande Guerre : nombre de « méridionaux » furent dénigrés du fait de leurs origines, alors même que le brassage des unités, rendu nécessaire par les hécatombes de 1914-1915, obligea les hommes des quatre coins de la France à vivre au quotidien dans les tranchées du front ouest.

Cet épisode malheureux invite à considérer les stéréotypes qui marquent le rapport à l’autre et au Midi en particulier : de quelle manière le Midi était pensé, à la fois par ceux qui s’y incluaient, mais aussi par ceux qui s’y référaient ? Alors même que la IIIe République se construit autour de l’idée d’unité nationale, et après le traumatisme de la défaite de 1870 qui voit le territoire amputé de deux provinces, comment le ou les Midis prirent-ils leur place dans le « roman national » en train de s’écrire ? Hommes de pouvoir, artistes, scientifiques ont-ils revendiqué cette appartenance ? Ont-ils joué un rôle marquant dans le paysage culturel  et politique ? De la Gascogne de Cyrano au Midi provençal de Daudet puis de Pagnol, quelle a été la place de la « méridionalité » dans l’espace français ?

Ce n’est donc pas sur une définition forcément plurielle, complexe et souvent partisane sur laquelle il s’agit de déboucher, mais sur une compréhension fine des représentations et des facteurs identitaires qui induisent l’appartenance au Midi ou aux Midis.

Au-delà des représentations, c’est autant la place du Midi ou des Midis dans la vie de la France sous la IIIe République que nous voudrions interroger (vie politique, culturelle, artistique) que a place du Midi dans la construction de l’État-Nation.

Un troisième axe d’analyse, suggéré par l’épisode de la soi-disant couardise des soldats du Midi en 1914, pourrait être la place joué par le ou les Midis dans les événements marquants de cette longue période, balisée par trois guerres (la défaite française 1870 et l’installation de l’État français en 1940 pouvant être vues comme deux repères chronologiques marquants).

Finalement, cette question conduit à étudier, explorer comme nous y invite la socio-histoire, les mécanismes, les structures qui sous-tendent les rapports identitaires à l’intérieur de la construction et de la représentation de la Nation.

Modalités :

Pour présenter une communication, il convient d’envoyer aux adresses indiquées (voir contacts/renseignements ci-dessous) avant le 15 décembre 2010 la fiche d’inscription ci-jointe (p. 3) remplie (de préférence en français, mais autres langues acceptées) qui sera soumise à une sélection de la part du comité scientifique.

Les postulants seront avisés fin janvier 2011 que leur projet est sélectionné ou non. Les modalités de présentation de l’intervention puis du texte définitif seront précisées ultérieurement.  Le colloque se déroulera à L’Espace d’Albret (quai de la Baïse) à Nérac (Lot-et-Garonne).

Selon les besoins, nous pourrons contribuer (tout ou partie) aux frais de voyage et d’hôtel des intervenants retenus.

À l’issue du colloque, les communications seront publiées dans les meilleurs délais par les Éditions d’Albret (dans le courant de l’année 2012), sous réserve d’éventuelles modifications proposées par le Comité scientifique.

Le Comité scientifique est composé de :

Christian Amalvi, professeur d’histoire contemporaine, Université de Montpellier 3.

Rémy Cazals, professeur émérite d’histoire contemporaine, Université de Toulouse 2.

François Dubasque, maître de conférences en histoire contemporaine, Université de Poitiers.

Bernard Lachaise, professeur d’histoire contemporaine, Université de Bordeaux 3.

Alexandre Lafon, doctorant, Université de Toulouse 2.

Céline Piot, doctorante, Université de Bordeaux 3.

Contacts/renseignements :

Alexandre Lafon : carpediem16@wanadoo.fr

Céline Piot : celine.piot@netcourrier.com

Parution : Combats. Hommage à Jules Maurin

Œuvre collective, cet ouvrage témoigne en premier lieu de la vitalité de l’Histoire militaire renouvelée et de ce que d’aucuns appelèrent l’École de Montpellier. Il y a en effet plus de quarante ans naissait à l’Université Paul Valéry de Montpellier le premier centre de recherche universitaire français spécialisé dans l’histoire militaire et les études de défense. Véritable pépinière de chercheurs, cette école a essaimé au-delà de ses murs et généré nombre de travaux importants. Parmi ceux-ci figurent assurément les recherches menées par Jules Maurin sur les soldats de la Grande Guerre ; aujourd’hui encore, pour tous ceux notamment qui questionnent ce conflit et les sociétés en guerre, son ouvrage Armée-Guerre-Société soldats languedociens 1889-1919 (1982) demeure comme un jalon incontournable dans l’historiographie de la Première Guerre mondiale. C’est donc en pensant particulièrement à cet historien et aussi pour jeter un nouvel éclairage sur ses travaux qu’un certain nombre de ses collègues et de ses anciens étudiants se sont réunis pour composer ce livre. À partir d’articles inédits s’inscrivant dans les débats actuels, Combats décline en définitive les trois dimensions de la guerre — la théorie, le combat, la sortie de guerre — des Croisades à… la guerre d’Afghanistan, sans omettre d’accorder une large place à l’histoire des poilus de 14-18.

Jean-François Muracciole et Frédéric Rousseau (dir.), Combats. Hommage à Jules Maurin, Michel Houdiard Editeur, 2010.

Parmi les contributions, des articles concernant la Grande Guerre par Jean-Jacques Becker, André Loez, Rémy Cazals, Oddon Abbal, Gérard Cholvy, Jean-Claude Hélas, Elie Pélaquier, François Cochet, Yves Pourcher, Rémy Pech et Frédéric Rousseau.

Parution: N. Offenstadt, La Grande Guerre aujourd’hui

14-18, un sujet de savant ? Bien au contraire !Depuis une dizaine d’années, nombre de romans ont été publiés avec pour toile de fond la Grande Guerre, Un long dimanche de fiançailles a attiré plus de quatre millions de spectateurs, et même la chanson et la musique s’y mettent. D’innombrables associations animent aussi la zone de l’ancien front. Bref, 14-18 donne lieu à des pratiques sociales et culturelles d’envergure. Quant aux hommes politiques, ils ne sont pas en reste et s’emparent des hauts lieux de la guerre pour parler du présent.

D’où vient cet intérêt ? Que nous révèle-t-il quant à la mémoire de cette guerre, à notre rapport au passé et au rôle que joue l’histoire dans notre société ?

Auteur notamment des Fusillés de la Grande Guerre et du Chemin des Dames, Nicolas Offenstadt est maître de conférences à l’université Paris-I.

Nicolas Offenstadt, 14-18 aujourd’hui. La Grande Guerre dans la France contemporaine, Paris, Odile Jacob
ISBN 978-2-7381-2534-7, octobre 2010, 145 x 220, 208 pages. (21.90  €)

Parution: Historiographies

Parution du dictionnaire d’historiographie (Historiographies. Concepts et débats, Folio histoire, 2010) dirigé notamment par Nicolas Offenstadt

2 vols, 1300 p. 80 auteurs et 125 notices, dont  “L’historien et le Témoin”, “La Grande Guerre”, “Histoire culturelle en France”, “L’histoire-Bataille”, “Mémoire collective” etc…  Avec des contributions de membres du Crid 14-18, dont Nicolas Offenstadt, Nicolas Mariot, Emmanuelle Picard et Philippe Olivera.

Exposition au musée du Noyonnais « Louis Leclabart, un artiste picard dans la Grande Guerre »

Louis Leclabart (1876-1929), un artiste picard dans la Grande Guerre, à Noyon

Du 18 septembre au 24 décembre 2010 au Musée du Noyonnais et à la galerie du Chevalet

En ce mois de septembre 2010, les musées de Noyon proposent de découvrir un artiste picard du début du XXe siècle : Louis Leclabart. Sculpteur mais aussi dessinateur, Louis Leclabart nous laisse en plus de son œuvre artistique un témoignage direct sur le quotidien des tranchées de la Grande Guerre.

Ses dessins à la mine de plomb immortalisent ses compagnons d’armes comme les officiers. Objets et  scènes du quotidien complètent ses vues sur les combats, tandis que son trait rigoureux et réaliste retranscrit les aspects plus techniques de cette guerre comme la naissance de l’aviation.  Mais la spécificité de Leclabart, c’est aussi le regard quasi unique qu’il porte en tant que soldat et artiste français sur les cimetières et monuments aux morts érigés par l’ennemi allemand. Nombres de ces constructions ayant disparu pendant ou juste après la guerre, les croquis de Leclabart sont souvent les seules représentations qui nous soient parvenues. Cependant l’artiste n’oublie pas sa vocation première, la sculpture, et produit en 1916 quatre  œuvres monumentales, aujourd’hui toujours visibles dans les environs de Noyon à la carrière dite du Chauffour. Dans l’immédiat après-guerre, Leclabart continuera à mettre son art au service du souvenir de ses compagnons d’armes, à travers les monuments aux morts qu’il réalisera en Picardie. Le plus célèbre demeure le monument aux morts d’Abbeville dont une étude préparatoire en plâtre sera présentée. Ces œuvres monumentales seront le point final de la production artistique, le sculpteur décédant fin 1929, à peine âgé de 53 ans.

Cette exposition permettra au public de redécouvrir un artiste reconnu en son temps mais désormais oublié, du fait notamment que la majorité de ses œuvres demeure au sein de collections privées. Cette présentation n’aurait ainsi pu être réalisé sans  l’important prêt consenti par les héritiers du sculpteur. Quatre-vingt dessins à la mine de plomb constituent l’essentiel de cette exposition. Quatre études en plâtre ainsi que des photographies donnent un aperçu des sculptures de l’artiste. Photographies  et imprimés d’époques viennent compléter cette première rétrospective.

renseignements : DRAC, Conservation des musées – tel 03 44 44  03 59

www.ville-noyon.fr – courriel : assist.musees@noyon.fr –

Le catalogue de l’exposition, Louis Leclabart (1876-1929), un artiste picard dans la Grande Guerre est publié sous la direction de Thierry Hardier.

Quel avenir pour le patrimoine 14-18? Colloque, Vic-sur-Aisne, 6-7 novembre 2010

Depuis vingt-cinq ans, des particuliers se sont regroupés en association pour se préoccuper de la sauvegarde et de la valorisation des traces de la Grande Guerre sous toutes leurs formes. Dans les régions concernées, le ministère de la culture, avec les directions régionales des affaires culturelles, a emboîté le pas en inscrivant au titre de l’inventaire des monuments historiques des monuments et des carrières 14-18.

Pour autant, l’avenir de ce patrimoine n’est pas assuré. Aujourd’hui, en dépit de l’intérêt que suscite cette période dans le public, pour des raisons diverses, est menacé de disparition : action du temps, pollution, vandalisme, fragilité intrinsèque des monuments, etc. Faut-il tout sauvegarder et pourquoi? Avec quels moyens financiers et quels partenaires? Sur quels critères?